Alain RIVIERE, créateur de la fondation autosphere
- Qui êtes-vous ? « J’ai démarré ma vie professionnelle dans le monde du tennis. Je suis titulaire d’un brevet d’Etat et j’ai enseigné pendant douze ans. En 1990, j’ai intégré le Futuroscope où j’ai occupé plusieurs fonctions dont celle de directeur d’exploitation jusqu’en 2001. J’ai ensuite rejoint le Groupe PGA (devenu Emil Frey) pour y développer une nouvelle activité de gravage et d’assurance. C’est ainsi qu’est née la société Securycar et, trois ans plus tard, le centre d’appel Call Services. En 2017, alors que je dirigeais le service marketing du Groupe, j’ai proposé à la direction la création d’un Fonds de dotation. A ce moment-là, on souhaitait développer la marque Autosphere tout en donnant du sens à nos actions. L’idée de servir l’intérêt général, d’impulser une dynamique de solidarité au sein de l’entreprise et tisser un vrai lien social entre les collaborateurs a été aussitôt acceptée. J’ai pu mener à bien ce projet et entraîner une équipe avec moi, c’est une vraie chance. »
- A quoi êtes-vous le plus vigilant lorsque vous sélectionnez un projet ? « Il y a d’abord l’intérêt général. Il faut que le projet s’adresse à un ensemble de personnes et pas à une seule. Ensuite, il doit concourir au bien-être ou à la santé de la jeunesse au sens large, sans limite d’âge. Enfin, il doit avoir du sens et être porté par une structure qui démontre qu’elle a réellement besoin de nous. »
- Une citation qui vous tient à cœur ? « Transformez l’indifférence et l’ignorance en solidarité. » C’est une phrase que j’aime beaucoup que l’on doit à l’écrivaine Magda Hollander-Lafon. En fait, tout le monde a envie de faire des choses, mais parfois on passe à côté par ignorance ou indifférence…
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