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HOPPIVR – Impact de la réalité virtuelle sur la prise en charge de la douleur en onco-pédiatrie

Fonds Aliénor
Porteur du projet : Fonds Aliénor
Département : Vienne 86

Objectif : Mener une étude comparative de la douleur chez l’enfant atteint d’un cancer, entre une prise en charge classique et le recours à des équipements de réalité virtuelle.

Concept : Fidèle à sa mission de promotion, de développement et de soutien à la recherche et à l’innovation médicale, le fonds de dotation Aliénor du CHU de Poitiers a fait le choix d’accompagner financièrement le projet d’Amandine Fernandes, cadre de santé en onco-pédiatrie.

Baptisé HOPPIVR, ce projet de recherche paramédicale repose sur une étude comparative de la douleur ressentie par les enfants âgés de 7 à 17 ans porteurs d’une pathologie cancéreuse, selon que l’on recourt à des méthodes « classiques » de prise en charge et de prévention, comme le gaz médicinal Meopa et les morphiniques, ou à des équipements de réalité virtuelle. Pour réduire la douleur, mais également le stress et l’anxiété des petits patients concernés par des soins lourds et invasifs (ponctions lombaires, branchements sur chambre implantable…), Amandine Fernandes envisage d’utiliser un casque de réalité virtuelle (VR) comme alternative aux techniques habituelles.

Cette étude est une première dans le domaine de l’oncologie pédiatrique. Menée sur une période de vingt-quatre mois, auprès d’une soixantaine d’enfants et d’adolescents victimes d’une leucémie, d’une tumeur du système central ou d’un lymphome, elle servira à déterminer si, oui ou non, la réalité virtuelle a une efficacité suffisante pour autoriser une réduction substantielle de la consommation d’antalgiques et restaurer un confort de vie pour le jeune bénéficiaire. A noter qu’HOPPIVR a été retenu, parmi quarante et un dossiers de candidature, dans le cadre d’un appel à projets interrégional du Sud-Ouest.

L’effet de distraction de la réalité virtuelle permettrait d’obtenir une solution d’action antalgique et d’offrir une alternative aux pratiques habituelles telles que le protoxyde d’azote, les anxiolytiques, les opioïdes, les psychotropes et les benzodiazépines.

Amandine FERNANDES, cadre de santé en onco-pédiatrie au CHU de Poitiers, porteuse du projet HOPPIVR.

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